ARIPA - Les articles de Nuances classés par thèmes - Etudes critiques ARIPA - Réexamens critiques de restaurations de peintures, à partir des dossiers scientifiques des musées de France, études sur les techniques picturales anciennes, analyses et propositions sur la déontologie, les théories et les pratiques de la restauration. https://www.aripa-revue-nuances.org/articles-revue-nuances/39-etudes-critiques.feed 2024-04-29T10:34:47Z Joomla! 1.5 - Open Source Content Management Changer Véronèse (en 2004) 2011-03-14T12:02:48Z 2011-03-14T12:02:48Z https://www.aripa-revue-nuances.org/articles-revue-nuances/39-etudes-critiques/166-changer-veronese.html Administrator phil@noirebene.fr <p><span style="font-weight: normal;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="color: #808080;"> Nuances 38-39 (2007) – pp. 3-10</span></span></span></p> <h2>Changer Véronèse (en 2004)</h2> <p><span style="font-weight: normal;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="color: #808080;">par Michel FAVRE-FELIX</span></span></span></p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p><img src="https://www.aripa-revue-nuances.org/images/stories/serie-luc.jpg" alt=" Le pélerin Luc avant et après 2004" /></p> <p><span style="color: #000000;">&nbsp;</span></p> <p><span style="font-size: 10pt;">&nbsp;&nbsp; <em>Examen critique des choix de restauration en 1950 et en 2004</em></span></p> <p>&nbsp;&nbsp; L’intervention effectuée au Louvre en 2004 sur les <em>Pélerins d’Emmaüs</em>, l’un des chefs-d’œuvre peint par Véronèse vers 1560, est emblématique des “restaurations fondamentales” pratiquées aujourd’hui. Appuyée par les moyens scientifiques du laboratoire de recherche et supervisée par une commission de suivi, elle n'en aboutit pas moins à un échec incontestable, précisément documenté.</p> <p>&nbsp;&nbsp;Notre étude, conduite à partir des dossiers scientifiques et de restauration, met à jour les fausses routes et les défaillances de la méthodologie actuelle : absence d’analyses des matériaux enlevés, manquements dans l’étude des documents historiques, suppressions incontrôlées, falsification par les retouches recouvrant la peinture originale.</p> <p><span style="font-size: 10pt;">&nbsp;</span></p> <p>• <a title="Changer Véronèse (en 2004)" href="https://www.aripa-revue-nuances.org/images/PDF/changer-veronese-doublepage.pdf" target="_blank">Lire l'article en PDF</a></p> <p><span style="color: #000000;">&nbsp;</span></p> <p><span style="font-size: 10pt;">&nbsp;&nbsp; <em>Le Louvre, qui n'a pas contesté notre réexamen, a tenté de corriger les dommages de cette restauration, cinq ans plus tard, non sans aboutir à un second échec : voir notre seconde étude </em> <a href="https://www.aripa-revue-nuances.org/articles-revue-nuances/39-etudes-critiques/165-re-changer-veronese.html" title="Re-changer Véronèse Nuances 42-43">re-changer Véronèse (en 2009)</a></span></p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p><span style="font-weight: normal;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="color: #808080;"> Nuances 38-39 (2007) – pp. 3-10</span></span></span></p> <h2>Changer Véronèse (en 2004)</h2> <p><span style="font-weight: normal;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="color: #808080;">par Michel FAVRE-FELIX</span></span></span></p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p><img src="https://www.aripa-revue-nuances.org/images/stories/serie-luc.jpg" alt=" Le pélerin Luc avant et après 2004" /></p> <p><span style="color: #000000;">&nbsp;</span></p> <p><span style="font-size: 10pt;">&nbsp;&nbsp; <em>Examen critique des choix de restauration en 1950 et en 2004</em></span></p> <p>&nbsp;&nbsp; L’intervention effectuée au Louvre en 2004 sur les <em>Pélerins d’Emmaüs</em>, l’un des chefs-d’œuvre peint par Véronèse vers 1560, est emblématique des “restaurations fondamentales” pratiquées aujourd’hui. Appuyée par les moyens scientifiques du laboratoire de recherche et supervisée par une commission de suivi, elle n'en aboutit pas moins à un échec incontestable, précisément documenté.</p> <p>&nbsp;&nbsp;Notre étude, conduite à partir des dossiers scientifiques et de restauration, met à jour les fausses routes et les défaillances de la méthodologie actuelle : absence d’analyses des matériaux enlevés, manquements dans l’étude des documents historiques, suppressions incontrôlées, falsification par les retouches recouvrant la peinture originale.</p> <p><span style="font-size: 10pt;">&nbsp;</span></p> <p>• <a title="Changer Véronèse (en 2004)" href="https://www.aripa-revue-nuances.org/images/PDF/changer-veronese-doublepage.pdf" target="_blank">Lire l'article en PDF</a></p> <p><span style="color: #000000;">&nbsp;</span></p> <p><span style="font-size: 10pt;">&nbsp;&nbsp; <em>Le Louvre, qui n'a pas contesté notre réexamen, a tenté de corriger les dommages de cette restauration, cinq ans plus tard, non sans aboutir à un second échec : voir notre seconde étude </em> <a href="https://www.aripa-revue-nuances.org/articles-revue-nuances/39-etudes-critiques/165-re-changer-veronese.html" title="Re-changer Véronèse Nuances 42-43">re-changer Véronèse (en 2009)</a></span></p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> La lumière et les vernis 2011-03-14T12:02:48Z 2011-03-14T12:02:48Z https://www.aripa-revue-nuances.org/articles-revue-nuances/39-etudes-critiques/168-la-lumiere-et-les-vernis.html Administrator phil@noirebene.fr <p><span style="font-weight: normal;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="color: #808080;"> Nuances 19 (1999/1) – pp. 3-7</span></span></span></p> <h2>La lumière et les vernis</h2> <p><span style="font-weight: normal;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="color: #808080;">par Paul PFISTER, restaurateur au Kunsthaus de Zurich</span></span></span></p> <p>&nbsp;</p> <p><span style="color: #660033; font-family: georgia, palatino; font-size: 12pt;">la présentation et la perception de l’œuvre ; leurs conséquences sur la restauration</span></p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;&nbsp; La peinture à l’huile possède la merveilleuse propriété de conduire la lumière dans<br />les profondeurs des couches picturales. Les vernis traditionnels étaient formulés pour renforcer et compléter cet effet esthétique capital.<br />&nbsp;&nbsp;L’auteur passe en revue les erreurs qui faussent la perception des tableaux dans nos musées, comme l’emploi de vernis minces et incolores ou des vernis synthétiques qui bloquent le passage de la lumière.</p> <p>&nbsp;&nbsp;Les qualités d’une œuvre à l’huile ne peuvent s’apprécier pleinement que si elle est placée sur un mur de couleur absorbante et sous un éclairage dirigé, assez chaud :<br />c’est le contraire de la présentation moderne sur fonds clairs et sous un éclairage zénithal diffus, malheureusement pris pour idéal aujourd’hui.</p> <p>&nbsp;&nbsp;L’auteur propose de prendre comme modèle les ateliers des artistes où sont réunis<br />les meilleures conditions de présentation de leurs œuvres.</p> <p>&nbsp;</p> <p>• <a title="Lumière et vernis Pfister" href="https://www.aripa-revue-nuances.org/images/PDF/la-lumiere-et-les-vernis.pdf" target="_blank">Lire l'article en PDF</a></p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p><span style="font-weight: normal;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="color: #808080;"> Nuances 19 (1999/1) – pp. 3-7</span></span></span></p> <h2>La lumière et les vernis</h2> <p><span style="font-weight: normal;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="color: #808080;">par Paul PFISTER, restaurateur au Kunsthaus de Zurich</span></span></span></p> <p>&nbsp;</p> <p><span style="color: #660033; font-family: georgia, palatino; font-size: 12pt;">la présentation et la perception de l’œuvre ; leurs conséquences sur la restauration</span></p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;&nbsp; La peinture à l’huile possède la merveilleuse propriété de conduire la lumière dans<br />les profondeurs des couches picturales. Les vernis traditionnels étaient formulés pour renforcer et compléter cet effet esthétique capital.<br />&nbsp;&nbsp;L’auteur passe en revue les erreurs qui faussent la perception des tableaux dans nos musées, comme l’emploi de vernis minces et incolores ou des vernis synthétiques qui bloquent le passage de la lumière.</p> <p>&nbsp;&nbsp;Les qualités d’une œuvre à l’huile ne peuvent s’apprécier pleinement que si elle est placée sur un mur de couleur absorbante et sous un éclairage dirigé, assez chaud :<br />c’est le contraire de la présentation moderne sur fonds clairs et sous un éclairage zénithal diffus, malheureusement pris pour idéal aujourd’hui.</p> <p>&nbsp;&nbsp;L’auteur propose de prendre comme modèle les ateliers des artistes où sont réunis<br />les meilleures conditions de présentation de leurs œuvres.</p> <p>&nbsp;</p> <p>• <a title="Lumière et vernis Pfister" href="https://www.aripa-revue-nuances.org/images/PDF/la-lumiere-et-les-vernis.pdf" target="_blank">Lire l'article en PDF</a></p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> La patine, témoin d'authenticité 2011-03-14T12:02:48Z 2011-03-14T12:02:48Z https://www.aripa-revue-nuances.org/articles-revue-nuances/39-etudes-critiques/144-la-patine-temoin-dauthenticite.html Administrator phil@noirebene.fr <p><span style="font-weight: normal;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="color: #808080;"> Nuances 20-21 (1999/2) – pp. 6-10</span></span></span></p> <h2>La patine, témoin d'authenticité</h2> <p><span style="font-weight: normal;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="color: #808080;">par Paul PFISTER</span></span></span></p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p><img src="https://www.aripa-revue-nuances.org/images/stories/patine-vente-corot.jpg" alt=" patine sur un Corot non verni" /></p> <p>&nbsp;&nbsp; Loin d’être une notion subjective, la patine correspond à un ensemble de phénomènes matériels engendrés par le passage du temps.</p> <p>&nbsp;&nbsp; Une patine spécifique se développe, lors du séchage de la peinture et au-delà dans le temps, à la surface d’un tableau que son créateur a voulu non verni.<br />Elle est une partie de l’intégrité de cette œuvre, un sceaux d’authenticité.<br />Supprimer cette patine, comme étant de la “saleté”, abouti en outre à détruire les preuves que cette peinture avait été conçue sans verni par l’artiste.</p> <p>&nbsp;&nbsp;L’auteur appuie son étude sur l'examen de tableaux des collections dont il est restaurateur : des œuvres de Corot, Van Gogh, Monet, Renoir.</p> <p>&nbsp;</p> <p><span style="font-size: 10pt;"><span class="Apple-style-span" style="line-height: 18px;">&nbsp;</span></span></p> <p>• <a href="https://www.aripa-revue-nuances.org/images/PDF/patine-authen-pfister.pdf" title="patine témoin d'authenticité" target="_blank">Lire l'article en PDF</a></p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p><span style="font-weight: normal;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="color: #808080;"> Nuances 20-21 (1999/2) – pp. 6-10</span></span></span></p> <h2>La patine, témoin d'authenticité</h2> <p><span style="font-weight: normal;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="color: #808080;">par Paul PFISTER</span></span></span></p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p><img src="https://www.aripa-revue-nuances.org/images/stories/patine-vente-corot.jpg" alt=" patine sur un Corot non verni" /></p> <p>&nbsp;&nbsp; Loin d’être une notion subjective, la patine correspond à un ensemble de phénomènes matériels engendrés par le passage du temps.</p> <p>&nbsp;&nbsp; Une patine spécifique se développe, lors du séchage de la peinture et au-delà dans le temps, à la surface d’un tableau que son créateur a voulu non verni.<br />Elle est une partie de l’intégrité de cette œuvre, un sceaux d’authenticité.<br />Supprimer cette patine, comme étant de la “saleté”, abouti en outre à détruire les preuves que cette peinture avait été conçue sans verni par l’artiste.</p> <p>&nbsp;&nbsp;L’auteur appuie son étude sur l'examen de tableaux des collections dont il est restaurateur : des œuvres de Corot, Van Gogh, Monet, Renoir.</p> <p>&nbsp;</p> <p><span style="font-size: 10pt;"><span class="Apple-style-span" style="line-height: 18px;">&nbsp;</span></span></p> <p>• <a href="https://www.aripa-revue-nuances.org/images/PDF/patine-authen-pfister.pdf" title="patine témoin d'authenticité" target="_blank">Lire l'article en PDF</a></p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> Le Christ mort de Mantegna : Ils ne savent pas ce qu'ils font 2011-12-09T16:51:49Z 2011-12-09T16:51:49Z https://www.aripa-revue-nuances.org/articles-revue-nuances/39-etudes-critiques/185-christ-mort-mantegna-ils-ne-savent-pas-ce-quils-font.html Administrator phil@noirebene.fr <p><span style="border-style: initial; border-color: initial; outline-width: 0px; outline-style: initial; outline-color: initial; font-size: 6px; vertical-align: baseline; color: #ffffff; border-width: 0px; padding: 0px; margin: 0px;">blanc</span></p> <p><img src="https://www.aripa-revue-nuances.org/images/stories/cmm-couve.jpg" alt="cmm-couve" title="mantegna" /></p> <p><span style="color: #660033; font-family: georgia; font-size: 19pt;">Le <em>Christ mort</em> de Mantegna:<br />ils ne savent pas ce qu'ils font</span></p> <p><span style="border-style: initial; border-color: initial; outline-width: 0px; outline-style: initial; outline-color: initial; font-size: 9px; vertical-align: baseline; color: #ffffff; border-width: 0px; padding: 0px; margin: 0px;">blanc</span></p> <p>Pour créer des évènements, au-delà des expositions légitimes, les musées peuvent favoriser les restaurations spectaculaires.<br />Mais lorsque celles-ci ne sont pas réalisables, <br />les mises en scènes choc peuvent jouer le même rôle, en suivant des raisonnements similiares: <br />le <em>Christ mort</em> à la Brera en témoigne.</p> <p><span style="border-style: initial; border-color: initial; outline-width: 0px; outline-style: initial; outline-color: initial; font-size: 9px; vertical-align: baseline; color: #808080; border-width: 0px; padding: 0px; margin: 0px;">par Michel FAVRE-FELIX</span></p> <p><span style="border-style: initial; border-color: initial; outline-width: 0px; outline-style: initial; outline-color: initial; font-size: 6px; vertical-align: baseline; color: #ffffff; border-width: 0px; padding: 0px; margin: 0px;">blanc</span></p> <p><img src="https://www.aripa-revue-nuances.org/images/stories/cmm-couve.jpg" alt="cmm-couve" title="mantegna" /></p> <p><span style="color: #660033; font-family: georgia; font-size: 19pt;">Le <em>Christ mort</em> de Mantegna:<br />ils ne savent pas ce qu'ils font</span></p> <p><span style="border-style: initial; border-color: initial; outline-width: 0px; outline-style: initial; outline-color: initial; font-size: 9px; vertical-align: baseline; color: #ffffff; border-width: 0px; padding: 0px; margin: 0px;">blanc</span></p> <p>Pour créer des évènements, au-delà des expositions légitimes, les musées peuvent favoriser les restaurations spectaculaires.<br />Mais lorsque celles-ci ne sont pas réalisables, <br />les mises en scènes choc peuvent jouer le même rôle, en suivant des raisonnements similiares: <br />le <em>Christ mort</em> à la Brera en témoigne.</p> <p><span style="border-style: initial; border-color: initial; outline-width: 0px; outline-style: initial; outline-color: initial; font-size: 9px; vertical-align: baseline; color: #808080; border-width: 0px; padding: 0px; margin: 0px;">par Michel FAVRE-FELIX</span></p> Old varnishes and their preservation 2011-03-18T17:11:40Z 2011-03-18T17:11:40Z https://www.aripa-revue-nuances.org/articles-revue-nuances/39-etudes-critiques/186-old-varnishes-preservation.html Administrator phil@noirebene.fr <p><span style="color: #660033; font-family: georgia; font-size: 19pt;">The pictorial role of<br />old varnishes and the principle<br />of their preservation</span><br />&nbsp;&nbsp;</p> <p><span style="border-style: initial; border-color: initial; outline-width: 0px; outline-style: initial; outline-color: initial; font-size: 9px; vertical-align: baseline; color: #ffffff; border-width: 0px; padding: 0px; margin: 0px;">blanc</span></p> <p><img title="Le rôle pictural des vernis anciens et le principe de leur conservation" src="https://www.aripa-revue-nuances.org/images/stories/vigelebrun-verni-non-verni.jpg" alt="vigelebrun-verni-non-verni" /></p> <p><span style="border-style: initial; border-color: initial; outline-width: 0px; outline-style: initial; outline-color: initial; font-size: 9px; vertical-align: baseline; color: #ffffff; border-width: 0px; padding: 0px; margin: 0px;">........</span></p> <p>This article proposes a visit through the Louvre, in order to study and compare several paintings that still have an old varnish against others from which it has been removed by cleaning. Why is it that the latter appear flattened, missing the impression or illusion of depth that remains such a strong characteristic of the others?<br />Why do the cleaned pictures seemingly display raw paint, as on a palette, while in the un-cleaned paintings retain the various rendering of clothes, skin, space, atmosphere, that were originally featured by the artist?</p> <p>The reasons for this are to be found in the nature of traditional varnishes: their optical properties, their optically softening thickness and the slight, natural yellowing tone that marks the normal changes over time. Old varnishes are the complement of the classical oil painting layered structure, which, without them, does not work correctly – or works contrary to the artist’s aims and wishes, all the most when its traditional old varnish is been replaced by a colourless, ultra-thin and often a synthetic one.</p> <p><span style="border-style: initial; border-color: initial; outline-width: 0px; outline-style: initial; outline-color: initial; font-size: xx-small; vertical-align: baseline; color: #808080; border-width: 0px; padding: 0px; margin: 0px;">par Michel FAVRE-FELIX and Paul PFISTER</span></p> <p><span style="color: #660033; font-family: georgia; font-size: 19pt;">The pictorial role of<br />old varnishes and the principle<br />of their preservation</span><br />&nbsp;&nbsp;</p> <p><span style="border-style: initial; border-color: initial; outline-width: 0px; outline-style: initial; outline-color: initial; font-size: 9px; vertical-align: baseline; color: #ffffff; border-width: 0px; padding: 0px; margin: 0px;">blanc</span></p> <p><img title="Le rôle pictural des vernis anciens et le principe de leur conservation" src="https://www.aripa-revue-nuances.org/images/stories/vigelebrun-verni-non-verni.jpg" alt="vigelebrun-verni-non-verni" /></p> <p><span style="border-style: initial; border-color: initial; outline-width: 0px; outline-style: initial; outline-color: initial; font-size: 9px; vertical-align: baseline; color: #ffffff; border-width: 0px; padding: 0px; margin: 0px;">........</span></p> <p>This article proposes a visit through the Louvre, in order to study and compare several paintings that still have an old varnish against others from which it has been removed by cleaning. Why is it that the latter appear flattened, missing the impression or illusion of depth that remains such a strong characteristic of the others?<br />Why do the cleaned pictures seemingly display raw paint, as on a palette, while in the un-cleaned paintings retain the various rendering of clothes, skin, space, atmosphere, that were originally featured by the artist?</p> <p>The reasons for this are to be found in the nature of traditional varnishes: their optical properties, their optically softening thickness and the slight, natural yellowing tone that marks the normal changes over time. Old varnishes are the complement of the classical oil painting layered structure, which, without them, does not work correctly – or works contrary to the artist’s aims and wishes, all the most when its traditional old varnish is been replaced by a colourless, ultra-thin and often a synthetic one.</p> <p><span style="border-style: initial; border-color: initial; outline-width: 0px; outline-style: initial; outline-color: initial; font-size: xx-small; vertical-align: baseline; color: #808080; border-width: 0px; padding: 0px; margin: 0px;">par Michel FAVRE-FELIX and Paul PFISTER</span></p> Re-changer Véronèse (en 2009) 2011-03-14T12:02:48Z 2011-03-14T12:02:48Z https://www.aripa-revue-nuances.org/articles-revue-nuances/39-etudes-critiques/165-re-changer-veronese.html Administrator phil@noirebene.fr <p><span style="font-weight: normal;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="color: #808080;"> Nuances 42-43 (2010-2011) – pp. 4-6</span></span></span></p> <h2>Re-changer Véronèse, jusqu'à quand ?</h2> <p><span style="font-weight: normal;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="color: #808080;">par Michel FAVRE-FELIX</span></span></span></p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p><img src="https://www.aripa-revue-nuances.org/images/stories/serie-meres.jpg" alt=" La Mère de Famille avant, après 2004 et 2009" /></p> <p>&nbsp;</p> <p>Une “restauration fondamentale” entreprise en 2003-2004 par le C2RMF et le Louvre<br />sur les <em>Pélerins d’Emmaüs</em>, chef-d’œuvre peint par Véronèse vers 1560, avait abouti<br />à un résultat insoutenable et falsifiant dont nous avions fait l’analyse documentée et incontesté (voir notre étude: <a href="https://www.aripa-revue-nuances.org/articles-revue-nuances/39-etudes-critiques/166-changer-veronese.html" title="Changer Véronèse (en 2004)" target="_blank">Changer Véronèse en 2004</a>)</p> <p>&nbsp;&nbsp;En 2009, le Louvre a tenté de corriger les dommages de provoqués cinq ans plus tôt.<br />Mais cette re-restauration, exécutée furtivement, sans la déclarer ni la renseigner dans les archives du musée, s’avère à nouveau désastreuse.</p> <p>&nbsp;</p> <p><span style="font-size: 10pt;">&nbsp;</span></p> <p>• <a title="Re-changer Véronèse (en 2009)" href="https://www.aripa-revue-nuances.org/images/PDF/re-changer-veronese.pdf" target="_blank">Lire l'article en PDF</a></p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p><span style="font-weight: normal;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="color: #808080;"> Nuances 42-43 (2010-2011) – pp. 4-6</span></span></span></p> <h2>Re-changer Véronèse, jusqu'à quand ?</h2> <p><span style="font-weight: normal;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="color: #808080;">par Michel FAVRE-FELIX</span></span></span></p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p><img src="https://www.aripa-revue-nuances.org/images/stories/serie-meres.jpg" alt=" La Mère de Famille avant, après 2004 et 2009" /></p> <p>&nbsp;</p> <p>Une “restauration fondamentale” entreprise en 2003-2004 par le C2RMF et le Louvre<br />sur les <em>Pélerins d’Emmaüs</em>, chef-d’œuvre peint par Véronèse vers 1560, avait abouti<br />à un résultat insoutenable et falsifiant dont nous avions fait l’analyse documentée et incontesté (voir notre étude: <a href="https://www.aripa-revue-nuances.org/articles-revue-nuances/39-etudes-critiques/166-changer-veronese.html" title="Changer Véronèse (en 2004)" target="_blank">Changer Véronèse en 2004</a>)</p> <p>&nbsp;&nbsp;En 2009, le Louvre a tenté de corriger les dommages de provoqués cinq ans plus tôt.<br />Mais cette re-restauration, exécutée furtivement, sans la déclarer ni la renseigner dans les archives du musée, s’avère à nouveau désastreuse.</p> <p>&nbsp;</p> <p><span style="font-size: 10pt;">&nbsp;</span></p> <p>• <a title="Re-changer Véronèse (en 2009)" href="https://www.aripa-revue-nuances.org/images/PDF/re-changer-veronese.pdf" target="_blank">Lire l'article en PDF</a></p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> Restauration de la Sixtine et copies de Rubens 2011-03-14T12:02:48Z 2011-03-14T12:02:48Z https://www.aripa-revue-nuances.org/articles-revue-nuances/39-etudes-critiques/184-restauration-sixtine-copies-rubens.html Administrator phil@noirebene.fr <p><span style="font-weight: normal;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="color: #808080;"> Nuances 26 (2001) – pp. 14-18</span></span></span></p> <h2>La restauration de la Sixtine<br />et les copies de P-P. Rubens</h2> <p><span style="font-weight: normal;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="color: #808080;">par Jean-Max TOUBEAU</span></span></span></p> <p> </p> <p> </p> <p><img src="https://www.aripa-revue-nuances.org/images/stories/sixtine-rubens-intro.jpg" alt=" Zacharie, copie Rubens, Sixtine avant et après" /></p> <p><span style="color: #000000;"> </span></p> <p><span style="font-size: 10pt;">   La restauration des fresques de la Chapelle Sixtine (1980-1994) a suscité des controverses qui ont principalement porté sur la transformation des couleurs et<br />des valeurs (ombre/lumière, modelé).<br />   L’article s’intéresse à des changements de formes et de tracés : il examine en particulier la suppression de couches que les restaurateurs ont considérées comme des "repeints" dûs à l’intervention de Mazzuoli sur les fresques en 1710. </span></p> <p>   Or, les copies réalisées par Rubens lors de son séjour à Rome attestent que ces "repeints" étaient déjà présents en 1601. L'auteur montre qu'il s'agissait de reprises peintes par Michel-Ange lui-même, effacées par le récent nettoyage.</p> <p><span style="font-size: 10pt;"> </span></p> <p>• <a title="Rubens copiste à la Sixtine" href="https://www.aripa-revue-nuances.org/images/PDF/sixtine-rubens-nuances26.pdf" target="_blank">Lire l'article en PDF</a></p> <p><span style="color: #000000;"> </span></p> <p> </p> <p> </p> <p> </p> <p> </p> <p><span style="font-weight: normal;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="color: #808080;"> Nuances 26 (2001) – pp. 14-18</span></span></span></p> <h2>La restauration de la Sixtine<br />et les copies de P-P. Rubens</h2> <p><span style="font-weight: normal;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="color: #808080;">par Jean-Max TOUBEAU</span></span></span></p> <p> </p> <p> </p> <p><img src="https://www.aripa-revue-nuances.org/images/stories/sixtine-rubens-intro.jpg" alt=" Zacharie, copie Rubens, Sixtine avant et après" /></p> <p><span style="color: #000000;"> </span></p> <p><span style="font-size: 10pt;">   La restauration des fresques de la Chapelle Sixtine (1980-1994) a suscité des controverses qui ont principalement porté sur la transformation des couleurs et<br />des valeurs (ombre/lumière, modelé).<br />   L’article s’intéresse à des changements de formes et de tracés : il examine en particulier la suppression de couches que les restaurateurs ont considérées comme des "repeints" dûs à l’intervention de Mazzuoli sur les fresques en 1710. </span></p> <p>   Or, les copies réalisées par Rubens lors de son séjour à Rome attestent que ces "repeints" étaient déjà présents en 1601. L'auteur montre qu'il s'agissait de reprises peintes par Michel-Ange lui-même, effacées par le récent nettoyage.</p> <p><span style="font-size: 10pt;"> </span></p> <p>• <a title="Rubens copiste à la Sixtine" href="https://www.aripa-revue-nuances.org/images/PDF/sixtine-rubens-nuances26.pdf" target="_blank">Lire l'article en PDF</a></p> <p><span style="color: #000000;"> </span></p> <p> </p> <p> </p> <p> </p> <p> </p> Vernis anciens et leur conservation 2011-03-18T17:11:40Z 2011-03-18T17:11:40Z https://www.aripa-revue-nuances.org/articles-revue-nuances/39-etudes-critiques/179-vernis-anciens-conservation.html Administrator phil@noirebene.fr <p><span style="color: #660033; font-family: georgia; font-size: 19pt;"><span id="_mce_caret" data-mce-bogus="1"><span style="color: #000000;" data-mce-bogus="1"></span></span>Le rôle pictural des vernis<br />anciens et le principe<br />de leur conservation</span><br />&nbsp;&nbsp;</p> <p><img src="https://www.aripa-revue-nuances.org/images/stories/hune-vigelebrun.jpg" alt="hune-vigelebrun" title="Le rôle pictural des vernis anciens et le principe de leur conservation" /></p> <p><span style="border-style: initial; border-color: initial; outline-width: 0px; outline-style: initial; outline-color: initial; font-size: 9px; vertical-align: baseline; color: #808080; border-width: 0px; padding: 0px; margin: 0px;">........</span></p> <p>Une visite dans les salles du Louvre permet d’étudier plusieurs peintures possédant encore un vernis ancien et d’autres œuvres qui, après un nettoyage poussé, en sont dépourvues.<br />Pourquoi ces dernières apparaissent-elles aplaties, sans cette qualité de profondeur qui caractérise toujours les autres ? Pourquoi y voit-on surgir la matière peinte brute, telle que sur une palette, à la place des effets variés de tissus, de peau, d’air, traduits par le peintre ?</p> <p><span style="color: #660033; font-family: georgia; font-size: 19pt;"><span id="_mce_caret" data-mce-bogus="1"><span style="color: #000000;" data-mce-bogus="1"></span></span>Le rôle pictural des vernis<br />anciens et le principe<br />de leur conservation</span><br />&nbsp;&nbsp;</p> <p><img src="https://www.aripa-revue-nuances.org/images/stories/hune-vigelebrun.jpg" alt="hune-vigelebrun" title="Le rôle pictural des vernis anciens et le principe de leur conservation" /></p> <p><span style="border-style: initial; border-color: initial; outline-width: 0px; outline-style: initial; outline-color: initial; font-size: 9px; vertical-align: baseline; color: #808080; border-width: 0px; padding: 0px; margin: 0px;">........</span></p> <p>Une visite dans les salles du Louvre permet d’étudier plusieurs peintures possédant encore un vernis ancien et d’autres œuvres qui, après un nettoyage poussé, en sont dépourvues.<br />Pourquoi ces dernières apparaissent-elles aplaties, sans cette qualité de profondeur qui caractérise toujours les autres ? Pourquoi y voit-on surgir la matière peinte brute, telle que sur une palette, à la place des effets variés de tissus, de peau, d’air, traduits par le peintre ?</p>